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Décris-moi le paradis!

© Alliance Presse
Lorsqu’on perd un grand-parent ou quelqu’un qu’on aime beaucoup, on pense souvent au paradis. Quelques lecteurs de Trampoline ont imaginé le paradis et ont partagé leurs idées avec nous...

Imagines-tu parfois à quoi ressemble le paradis? Dans la Bible, Dieu dit qu’il nous prépare une place dans cet endroit. Là, il n’y aura plus de malades, plus de guerre, plus de crimes, plus de tristesse. La paix règnera. Un loup et un agneau pourront même vivre ensemble.

Comment peut-on entrer au paradis?
Dieu aimerait que tous les humains entrent au paradis. Le problème: comme il n’y a pas de mal ou de guerre au paradis, Dieu ne peut pas accepter les personnes méchantes au paradis. C’est logique! Voici donc ce que Dieu nous demande de faire pour entrer au paradis: croire qu’il existe et lui demander pardon pour nos fautes, même celles qu’on n’a pas fait exprès de commettre.

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Tout le monde au paradis?
Si on t’offre une très belle montre à condition que tu demandes pardon pour une faute, qu’est-ce que tu fais? Dieu offre à chacun le beau cadeau du paradis, mais on peut seulement en profiter si on lui demande pardon pour notre méchanceté. A chacun de décider s’il va accepter le cadeau de Dieu!

Le sais-tu?
Quand un élève n’est pas sympa avec toi, tu trouves normal qu’il soit puni. Mais sais-tu que nous avons tous fait, au moins une fois, une chose méchante? Comme Dieu veut qu’on aille au paradis, il a puni Jésus à notre place, sur la croix. Du coup, Dieu nous pardonne pour nos fautes, si on le lui demande!

Nathalie Egger


Explique-moi le paradis;…

«Je pense que le paradis est indescriptible. Plus beau que ce je peux imaginer, que tu peux imaginer, que tout le monde peut imaginer.»
Laura, 9 ans

«J’imagine le paradis comme un endroit sans pleurs et sans mal.»
Clément, 11 ans

«Je pense que le paradis ressemble à un énorme royaume parfait, et c’est la paix.»
Loïc, 11 ans

«Je ne peux pas l’imaginer étant donné que Dieu dit que ce sera mieux que tout ce que nous imaginons!»
Mäeva, 10 ans

«Cela n’aura pas de fin; c’est un peu comme l’horloge du salon, ça fait trois ans qu’elle est à huit heures!»
Flavie, 12 ans

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